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No Name Crew représentera la Suisse lors des mondiaux, prévus cet été à Phoenix, Arizona.

*Update: Bonne nouvelle ! En vue de notre repas de soutien qui se tiendra le 22 mai, nous prolongeons le crowdfounding jusqu’au 31 mai afin de laisser plus de temps aux personnes qui souhaitent soutenir No Name Crew pour leur participation au championnat du monde de danse Hip Hop cet été à Phœnix!

Merci à tous ceux qui ont déjà contribué, nous en sommes très reconnaissants!!! Encore un peu de patience, les contributions arriveront début juin!*

QUI SONT-ILS ?

Après 1 an de travail acharné, le "No Name Crew" a participé le 13 mars dernier au championnat " HIP HOP INTERNATIONAL", organisé à Lugano. Ils ont atteint leur objectif : se qualifier pour le championnat du monde qui se tiendra à Phoenix, en Arizona, (USA) cet été du 6 au 13 aout 2022.

Les vis-champions Suisse en catégorie Méga Crew ( soit plus de 15 danseurs) sont plus que motivés et prêts à représenter la Suisse au championnat du monde aux USA.

"No Name Crew" est constitué de 28 danseurs, dont 1 remplaçante. 

Ils sont âgés entre 11 et 24 ans, et viennent tous de la région de Nyon. Ils représentent l'association ADAC, Académie des Arts Créatifs.

Certains dansent depuis 5 ans, d’autres n’ont qu’une année de danse à leur actif et sont d’autant plus méritants car ils ont travaillé sans relâche pour rattraper le niveau du groupe.

Les plus grands apportent leur passion de la danse aux plus jeunes, et les plus jeunes apportent leur énergie débordante et leur ambition d’enfant aux plus âgés.

C’est un groupe soudé, qui se soutient, et cela depuis le début. Ils ont une capacité de se tirer vers le haut quoi qu’il arrive et d’être unis.

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POURQUOI AVONS NOUS BESOIN DE VOTRE SOUTIEN :

Vos dons aideront les enfants à financer principalement les 28 billets d'avions, et le logement sur place pour tous les danseurs, depuis Genève, jusqu'à Phoenix.

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UN MOT DE LA COACH :

Je suis fière de mes élèves. Cette année, j’ai placé la barre très haute pour voir comment ils arriveraient à gérer autant la performance physique que la charge mentale et émotionnelle que demande cette préparation au concours. 

Nous avons donc organisé en début d’année des auditions pour pouvoir constituer le groupe. 

Une fois établi, nous avons dû apprendre une dizaine de chorégraphies. Chaque élève a dû les apprendre en cours, mais également les travailler chez eux, se filmer et m’envoyer les vidéos une à une pour que je puisse leur faire des corrections personnelles par rapport au minutage de leur vidéo. Et cela jusqu’à ce que les chorégraphies soient parfaites. Ils ont toujours été rigoureux, et appliqués. Dès lors, je savais qu’en travaillant comme cela, avec l’implication et la volonté de chacun, nous arriverions à nous hisser sur le podium.

J’ai demandé à mes élèves de se conditionner mentalement également. Certains ont créé des tableaux d’objectifs sur lequel ils se concentraient plusieurs fois par jour. 

Mon objectif en tant que coach étant de leur faire comprendre que si ils veulent quelque chose, ils peuvent, mais il n’y a pas de solution miracle : il faut travailler. Ils ont sacrifié de nombreux week-end depuis novembre, n’ont pas compté leurs heures de travail. Cela a été dur par moment, mais de voir leur fierté et leur larmes de joie en apprenant leur classement sur le podium, cela n’a pas de prix, et si c’était à refaire, nous le referions tous c’est certain.

Cette expérience leur servira d’exemple au-delà des cours de danse, mais dans leur vie personnelle et professionnelle. 

 Ils  méritent qu’on s’intéresse à leur projet.

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